27 août 2014 3 27 /08 /août /2014 04:48

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J'aime tant son regard sur moi, cet homme-là dans le canapé, en train de faire sa grille de mots-croisés, qui baisse son crayon, me scrute de bas en haut, de haut en bas. Aujourd'hui plus encore, après plus de quarante ans de mariage, j'aime sentir ses yeux, sa gourmandise qui se nourrit de ma féminité. Il me donne des conseils, il s'interroge parfois sur une couleur, une tendance qui lui aurait échappé, un mauvais goût qu'il ne comprend pas. Curiosité et bienveillance, mais surtout de l'amour pour non pas mon seul physique mais cette harmonie entre mon caractère, mon choix de mode, mon maquillage, mon sourire. J'ai veilli certes, lui aussi, c'est ainsi, et nos joies sont toujours là.

 

Nos sentiments aussi, car la routine auait pu devenir la place forte de notre couple, mais l'un comme l'autre nous avons nos routines, nos rituels mais aussi cette pointe toujours vivante d'excentricité, ou du moins de vivacité. Il aime me rappeler "tout comme moi, tu es une vieille, mais tu es surtout une vieille élégante" avec une malice éternel depuis que je connais la profondeur de ses mots, la tension de sa voix et son sourire caché derrière. 

 

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Alors pour notre repas du samedi soir, une routine, une sortie souvent dans les mêmes restauarnts locaux, je m'habille, lui aussi, je me fais coquette, avec bijoux et petite robe, il me regarde sagement. Parfois il demande un collier, une écharpe ou une étole pour compléter ma tenue. Il m'agace aussi, feignant de ne pas voir ma coiffure ou mes nouvelles chaussures achetées avec ma petite-fille. Il joue de son poste d'observateur, de vieux chat. Mais toujours avant de partir, en prenant mon bras, en tenant mon sac à main, il me glisse quelques mots sur ma mode, prouvant son regard qui n'a oublié aucune étincelle de ma féminité. Bagues ou simple trait d'eye-liner, teinte exacte du rouge-à-lèvres, il voit tout, jusqu'à la bride sur mes chevilles, ou ce voile de nylon si fin sur mes jambes. Je ne suis pas son objet, mais son coeur, il me le dit souvent. Car j'ai toujours été libre de m'habiller tant pour le travail, que pour nos sorties, notre vie commune, quand les enfanst étaient encore là, durant toute notre vie. Mais toujours et encore aujourd'hui il aime me voir, il prend ce temps avec délectation pour poser avec délicatesse ses yeux sur moi, pour en garder un image dans sa mémoire, pour m'en reparler plus tard, parfois des années plus tard. Chaque tenue est une carte postale de notre vie, un compliment ou une simple combinaison de vêtements. Il prend un cliché dans son cerveau, croque avec son âme amoureuse, déguste ma silhouette dans le temps.

 

"Il ne manque plus que le parfum. Tu es ravissante pour nous, ce soir."

 

Je peux saisir le flacon, il est reparti dans sa lecture, mais aucun jour ne s'est passé sans son regard, sans ce sentimenté échangé entre nous. Et jamais je ne me lasse de cette attention. Finalement une si délicieuse routine.

 

 

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Nylonement

 


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26 août 2014 2 26 /08 /août /2014 05:47

"Je vais te quitter ..." avaient été ses premiers mots, ceux d'une longue phrase, de plusieurs instants avec quelques silences lourds. Lui si discret en général, peu expressif de ses sentiments sous forme verbal, mais avecd es gestes si doux, mon amoureux, il m'annonçait une pause, voire une fin. Rien ne semblait clocher entre nous, je n'avais rien vu venir, une impression forte de saut dans le vide, plus encore quand il avait pris un sac, quelques affaires, sa veste, ses clefs. Le claquement de la porte, sa colère encore comme parfum derrière lui, le silence, le vide.

 

 

J'étais assommée, même pas encore consciente de la blessure, ni de ce couple cassé que je croyais être avec lui, j'étais assise sur le canapé, nos deux tasses de thé devant moi, les croissants, les magazines, un bouquet de fleurs. Chaque dimanche, et parfois d'autres jours où nous pouvions être ensemble, profitant de nos matinées, il se levait, se douchait, fonçait chez le boulanger, revenant pour préparer notre petit déjeuner, ici dans le salon, parfois sur notre petite terrasse, parfois au lit, où doucement je me réveillais. l'odeur du pain frais, du thé fumé, des confitures, tout était là devant moi, sans lui.

Je n'avais pas à me poser les interrogations habituelles autour du "pourquoi", il m'avait énoncé certaines fractures entre nous, entre lui et moi, entre nous, entre nos univers de vie qu'il trouvait différents soudainement. Mais là aussi, sur le temps, il avait donné sa version, son regard, son degré de lassitude. Et pourtant il était si amoureux, ce matin encore, ses bisous à notre réveil, sa sensualité, ses bras. Hier encore ses projets, notre discussion autour du mariage d'amis communs le week-end dernier, les repas en terrasse récemment, les balades d'été avec les copines, les pique-niques improvisés entre amis. Tout cela nous faisait sourire, depuis deux ans, presque trois que nous formions un couple.

 

 

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Le thé coulait en moi, me donnant de la chaleur, m'imposant encore sa présence, et ses mots qui revenaient. Son exposé avait été complet, soudainement libéré, et conforme à son pragmatisme habituel. Sans réelle colère, juste peut-être en conclusion, il avait précisé les points de rupture. En expliquant toute sa souffrance, plus que son incompréhension, en mesurant chaque mot, pour ne pas me blesser mais pour m'expliquer pourquoi il partait. Pas de concurrente, pas de femme en substitution, mais une attente de mon côté, une attente qu'il trouvait trop longue aujourd'hui.

 

Dans mon long pull informe, dans mon pantalon de coton léger, roulée sur moi-même, je m'observais dans le miroir posé au sol, pour agrandir notre petit appartement, pour renvoyer le soleil, pour me renovoyer l'image de certains reproches. Trentenaire, avec un bon job où je m'épanouissais, en bonne santé, avec des parents divorcés et remariés, une famille recomposée qui brillait par sa diplomatie, j'étais heureuse, surtout avec ce grand brun, si gentil, si attentionné. Mais dans ce miroir, il me l'avait dit avec justesse, ce n'était plus qu'un pâle reflet de moi, du moins d'une image différente de celle de nos débuts, de celle qu'il l'avait charmé. Séduit, victime de notre amour, son seul sourire dans sa colère, car il devait y croire encore, il avait succombé à mes rires, mes joues rouges après notre premiers baisers, nos balades. Malheureusement il ne voyait plus les petites ballerines, les robes légères d'été, les jupes et les petits hauts qui moulaient si bien ma petite poitrine, celle de ses rêves m'avait-il avoué. Le léger m'avait quitté, la féminité aussi avec. Lui délicat, et amateur de cette silhouette fine, presque brindille, et de mes hanches, si voluptueuses à ses yeux, il ne voyait plus que mes jeans, que mes pantalons de toutes formes, les flares, les 7/8, les slims, mais toujours des pantalons. Même si il aiamait ma mode, mes changements, il ne voyait plus qu'une étagère du dressing, le même toujours le même, le confort et le standard qui faisait oublier le glamour de notre première année. D'autant que nous nous étions croisés souvent avant, des amis communs, des soirées, mes célèbres petites robes noires, mes escarpins, mes bottes, mon identité. Il avait ramassé mon haut talon, un jour de pluie soudaine, tombé dans l'escalier vers le salon, on avait ri, il l'avait glissé à mon pied, le prince charmant. Nous ne nous étions plus quitté, capté par mes jambes, par ce drapé en jersey noir si fluide, par son caractère doux, par ses paroles assurées sur la mode, par ses compliments sur mes choix de mode.

 

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Lasse de mon confort, tombée dans la routine, happée par le boulot, par notre vie commune bien installée dans cet appartement chaleureux, notre cocon, peut-être envieuse des copines mariées, maman même, mais elles avaient pris juste de l'avance, je ne voyais plus mon image, je ne cherchais peut-être plus à le séduire. Je l'avais pour moi. Facilité du matin, de tous les matins, de toutes les saisons, il avait vu le temps devenir gris, ma féminité se diluer dans des ensembles plus classiques, plsu sobres, plus masculins, plus mornes, plus fades. Ses mots, tout à l'heure sonnait justes, comme un jugement un peu, mais aussi comme une simple synthèse, un rappel de mes deux dernières années. Toujours une raison de ne pas mettre mes petites robes noires ou autres, pourtant achetées sur un coup de tête, en soldes ou plein tarif, mais elles ne faisaient que remplir le coin du dressing. Même les escarpins se glissaient moins souvent en bas de mon slim, mes chemisiers n'étaient plus que des tops, souvent sans autre forme que le confort. Même la lingerie, j'étais passé de la dentelle au coton coloré, des dizaines de couleurs, mais si peu de combinettes, de bodys, qu'il adorait sur mon corps de jeune femme. Entre ses mots, il y avait eu ses phrases dures, impactantes "Rappelles-toi quand tu as porté une de tes petites robes noires, pour la dernière fois ? Et tes jolis ensembles de lingerie, de dentelles et de soie, nos complices instants de délicatesse, de sensualité, quand ?". Non il n'avait pas énuméré une liste de mes atouts au féminin. Non, il n'avait pas fait un suivi comptable, mais il avait vu se diluer cette féminité vers le facile, vers une sobriété amorphe comme mes sweats. Et il aiamit cette douceur, mais en équilibre, en harmonie de mes instants si glamour. Il avait perdu de vue mon élégance, et par delà même la femme qui allait avec. Moi.

 

 

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Un bip, un sms, plusieurs sms.

"Je suis désolé d'avoir dû te dire tout cela, car j'aimais cette mode qui me paraissait être une partie de toi."

"Je pense tout ce que j'ai dit, car si je recherche en toi cette femme, c'est elle que j'aime encore, Toi."

"Tout est question d'harmonie, et j'aime ce cocktail subtil quue tu as avec ta mode, ta silhouette, ton corps, ton caractère."

"Je ne cherche pas à avoir raison, ni à orienter tes choix, j'ai juste exprimé mon désir de toi, de cette femme si élégante que tu incarnais."

 

Après de longues minutes, des larmes, des regards dans le miroir, je me suis levé pour aller dans notre dressing.

 

"Je t'aime !"

 

 

 

Nylonement

 


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25 août 2014 1 25 /08 /août /2014 04:59

Consultante depuis plus de sept ans dans ce cabinet, moderne et reconnue pour son professionalisme, je suis devenue responsable de mon secteur, spécialisée sur un domaine de l'économie, je ne dois rien à personne, sauf à moi, mon travail, mon investissement personnel.

 

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Jeune recrue sortant d'une bonne école de commerce, j'ai commencé par un stage, un boulot de seconde zone idéal pour tester les nerfs virulents de mon ambition, celle aussi de mes jeunes collègues. Six mois de travail ingrat, de tâches diverses et mal gérées, mais un premier pas dans la structure, dans cet échange avec mon manager, le management en général, dans une hiérarchie multidimensionnelle, où l'on donne de son énergie pour répondre non pas à un objectif mais aux besoins d'un projet, compétences informatiques, en droit ou en comptabilité ou encore en finances, il faut alors croiser avec des développements commerciaux ou logistiques, voire plus tard stratégiques ou politiques. J'ai adoré ces années-là. Découverte, heures supplémentaires, happy hours du vendredi soir, projets réussis ou prolongés car vendus trop vite à bas prix pour obtenie ensuite des rallonges sans fin, des processus, des routines, des compétences toujours nouvelles, une phase si riche que je ne l'ai vu passé. Brillante, j'ai été souvent félicitée pour mon implication sans faille, mes semaines de six jours, ma disponibilité, ma droiture dans les conflits, ma diplomatie interne comme externe.

 

Mon petit appartement, je l'ai peu vu, les vacances étant anecdotiques ou ailleurs, j'ai surtout apprécié mon élévation sociale qui se retrouvait dans la taille ou la marque de mon sac à main. Chaussures aussi, de belles marques aussi pour mes tailleurs, ma mode, mes bijoux, j'ai affirmé mon statut de femme, mon allure avec les premières années. Flirter, parfois j'ai été approchée par de jeunes consultants, une fois par un client, plutôt par des managers célibataires après leurs deuxièmes divorces, la valise dans le coin du bureau. Rien, sauf des aventures, celles que je choisissais plutôt ailleurs. Mais cela n'a pas d'importance car j'ai un plan de carrière, une réelle envie de réussir, de devenir une brillante consultante. Orgueil peut-être !

 

 

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Seulement entre deux bières, sur un projet en Allemagne, un déplacement de deux semaines, un soir au bar avec d'autres collègues, j'ai entendu leurs salaires, et là, j'ai compris que l'égalité n'avait qu'une face, un versant unique masculin, des nombreuses et minuscules facettes féminines. Mes oreilles ont enregistré, et ce soir, j'ai demandé un rendez-vous avec la DRH afin d'avoir une franche explication sur ce différentiel. Car les éternelles contournements seront difficiles à entendre "vous êtes plus jeunes", "vous avez été arrêter pour vos maternités", "vous êtes moins disponibles", "vous êtes une femme". Je suis comme eux, avec les mêmes études, un investissement bien réel, des retours de projets clients plus que satisfaisants, des félicitations et deux promotions, mais un salaire moindre. Où est l'égalité ?

 

A notre époque, nous ne devrions même plus en parler, sur des métiers, des cariières similaires, et pourtant. Alors je vais écouter, mais qu'ils sachent que dans ma boîte à email, un concurrent à répondu à ma recherche passive, avec une proposition, avec un contrat, avec un salaire supérieur aux autres collègues mâles. Moi aussi, j'ai une carte cachée dans mon jeu.

 

 

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Nylonement

 

 


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24 août 2014 7 24 /08 /août /2014 17:49

Chaque dimanche, je partage mon sermon, ma messe basse, mes mots et mon enthousiasme pour défendre et surtout promouvoir (sans obligation et avec respect) le port des bas nylon. rassurez-vous ! Je suis moins intrusif que les émissions de télé-réalité, les reportages sur l'intime ou sur la mode de nos médias, moins corrosif que les pages "sexualité d'été" de vos magazines d'été dans votre cabas de plage ou dans votre sac à main, sur une terrasse pour votre pause.

 

Chaque dimanche, je crois, plutôt je rêve d'un monde plus glamour avec des femmes libres de leurs choix de mode, avec accessoirement des jolies robes, des jupes délicates, des jambes exquises et des chaussures pour faire swinguer leurs allures. Et parfois j'essaye d'argumenter pour vous faire découvrir les véritables bas nylon.

 

Car revenons au départ, à votre choix en tant que femme lors de vos achats en boutiques, en magasins, sur le net, pour vous messieurs lorsque votre regard s'égare sur les trottoirs, sur les silhouettes élégantes.

Quelle réalité se cache derrière le voile nyloné des jambes des femmes ?

 

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Une simple addition de nombres, entre production et consommation en France, avec les achats de Lingerie et de Chaussant (terme pro pour les collants, bas et leggings ... et chaussettes), vous obtiendrez près de 2.7 milliards pour ce secteur, avec un panier moyen par française variant suivant la catégorie sociale mais aussi l'âge et plus globalement l'envie de mode. Des analyses et des études, chaque année la fédération de la maille et de la lingerie, elle en produit pour comprendre nos comportements, pour aider les productions nationales, pour anticiper les tendances, et suivre les budgets.

Alors fort est de constater la réalité de plus près, pour la consommation, en France, il est acheté par an (environ... car les chiffres varient beaucoup suivant les sources) :

165 à 200 millions de collants

13 à 22 millions de bas jarretières (type DimUp)

... peu de bas pour jarretellles (si peu que les statistiques semblent les oublier, surtout que dans ce sous-total nous trouverons des bas "mousse" souvent imprimés de motifs, et bien évidemment des bas voile et des bas nylon traditionnels)

4 à 12 millions de leggings (oui mais ... est-ce un accessoire du chaussant quand nous associons aussi les jeggings, les variantes devenus vêtements et non plus accessoire)

 

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Et la production, nous pourrions croiser les nombres pour mieux comprendre, mais ce monde est plus nébuleux encore, car si certaines marques sont françaises, leurs sources de production varient entre usines sur notre territoire (rares) et sites de fabrication internationaux (nombreux en direct et en sous-traitance). De plus, si on produit en France on peut vendre ailleurs, tou n'est pas consommé en France. Douce utopie d'une autarcie du voile de nylon ;-)

Mais je resterai sur les possibilités de production des machines à tricoter les mailles de nylon. Si nous faisons un seul focus sur les machines connues, existantes et en bon état de fonctionnement qui produisent toute l'année, et uniquement celles qui produisent des véritables bas nylon à couture (fully fashioned stockings pour les puristes, et anglophones), nous arrivons à une production faible :

environ 120.000 paires produites en France

environ 90.000 paires produites en Angleterre

environ 30.000 paires produites en Belgique/Pays-bas

 

Donc je joue avec les nombres, 3.500 millions de femmes, beaucoup moins avec le besoin de protéger leurs jambes, beaucoup moins avec le budget pour le faire, beaucoup moins qui font attention à leurs choix de mode, énormément moins avec cette délicatesse, infiniment moins avec la connaissance de l'existence de cette finesse absolue, et je pourrai soustraire encore les porteuses de chaussettes, voire de mi-bas, les anti-féminités et tant d'autres critères restrictifs.

Oui, vous êtes peu nombreuses à connaître (à avoir découvert ou à découvrir prochainement) les véritables bas nylon à couture, avec leur douceur infinie.

Oui, vous êtes porteuses, régulières ou occasionnelles de ces merveilles.

Dans tous les cas, sachez que vous portez un produit d'exception, rare, très rare même, avec une disponibilité réduite, avec une fragilité parfois illusoire et très courte dans le temps. c'est un caviar, une chance et presque un relatif honneur de porter ces bas nylon.

Alors avec vos deux paires pliées respectueusement sous votre guêpière dans votre tiroir à lingerie, avec une dizaine de paires pour vos sorties élégantes, avec votre stock de plusieurs dizaines (de marques actuelles ou des bas vintage) car vous succombez uniquement à ce voile ultra-fin pour signer vos jambes, dans tous les cas, vous êtes des femmes d'exception.

 

 

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Vive les véritables bas nylon à couture

 

Nylonement

 




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Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

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Les photos sont ici uniquement à titre non marchand comme l'ensemble de ce blog non-commercial, pour un référencement, en l'honneur des marques citées, pour un usage d'hommage à la Féminité. Si toutefois, j'oublie une référence (encore faudrait-il qu'elle apparaisse en récupérant cette image sur le net, sur Pinterest et ailleurs) ou je suscite un souci de droit à l'image ou aux copyrights, contactez-moi par email gentlemanw@nylon-volupte.com.

L'image sera retirée dès que vous nous préciserez laquelle. Merci.

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

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Bas Nylon, quel talon ?

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Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

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citizencouture.com la mode online

misspandora.fr super-fée de mode

leblogdebigbeauty.com ronde et alors ?

modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !