2 mai 2015 6 02 /05 /mai /2015 07:00
Culture du samedi

Le samedi, je partageais des expositions, des balades, des sorties, des films et souvent des livres. Dans une vision idéaliste et altruiste, je prenais le temps de vivre ces instants-là, de les apprécier pour vous donner l'envie de les suivre.

 

Aucune action mercantile mais aussi aucun snobisme désabusé comme souvent de la part de certaines journalistes "qui en voient trop", "qui ne peuvent parler de tout", "qui ne se déplacent pas", "qui manquent de curiosité", " qui préférent les évéènement bobo et chiants", "qui finalement recopient le dossier de presse". Et "qui manquent de culture ..."

 

Non, je savourais un bonheur de lecteur, de visiteur, d'un parcours curieux et gourmet, gourmand aussi sur ce qui est le monde de la culture. Je continuerai à lire, beaucoup, chaque jour, des journaux, des blogs, des informations en français et aussi sur des médias internationaux, des livres surtout, sur tant de focusdivers. 

 

Je prendrai ce bonheur, sans une vision instagram et floue des choses, avec un recul et un univers critique et glamour qui restera le mien. 

 

Bonnes balades, bonnes lectures, bons films et surtout encore des émotions esthétiques, nostalgiques ou nouvelles face à la liberté d'expression de la Culture.

 

 

Nylonement

 

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1 mai 2015 5 01 /05 /mai /2015 06:35
Femmes libres

Mes enfants, mes filles, mon fils, je voudrais vous dire, vous transmettre quelques valeurs pour que demain soit plus beau, plus libre, plus empathique.

 

A vous qui êtes la nouvelle génération, ferez la prochaine, je partage et je donne les plus grands espoirs que vous puissiez continuer à vivre en paix, mais surtout en parfaite parité, en parfaite égalité entre les femmes et les hommes. 

 

Je suis né trop tôt, trop tard, venant d'un autre siècle avec des valeurs désuètes, des erreurs de jugements, des pensées incompatibles avec notre société. Idéaliste, j'ai compris que je ne serai jamais assez important, gorgé de pouvoir pour changer ce monde, cette société, mais j'ai toujours cru à la beauté dans les relations humaines.

 

Idéaliste, totalement déconnecté de notre vie réelle, j'ai longtemps poursuivi des valeurs, défendu face à d'autres mes pensées, refusé la vie de moutons, mais aussi celle de requin. J'ai cru à un espace juste où les femmes comme les hommes feraient les mêmes tâches, les partageant équitablement au gré de leur savoir, de leur volonté, de leurs possibilités. J'ai été indépendant très tôt, pour moi (ah l'adolescence et la curiosité du monde des adultes, à moins que ce ne soit un esprit en avance..., avec un autre regard déjà) mais aussi pour les autres. Pour des repas improvisés dont tous voulaient être, pour des dégustations de vins et de champagne, pleines de poésie, de légèreté et de joie, pour d'autres moments plus intimes, pour des partages d'amitié aussi, pour croquer la vie. Mais toujours j'ai refusé les évidences qui troublaient le bon sens vers un profit inégalitaire, de pouvoir ou d'argent, d'impolitesse ou d'irrespect. 

 

J'ai aimé mon parcours de vie, certes avec de belles erreurs, des joies et des doutes. Et surtout vous, mes enfants, j'ai tenté de vous expliquer que nous étions tous égaux. En droits et en devoirs, pour nous et pour les autres, pour rêver et pour réaliser. Pour aimer aussi !

 

 

 

Femmes libres

Une seule quête, le bonheur dans le regard des autres, sans trop déséquilibrer la machine vers une quelconque suprématie. Ecouter, entendre les autres, dire non, expliquer, dire oui, argumenter, partager, avancer ensemble. Avec une réelle liberté d'expression. D'ailleurs en janvier, vous m'avez vu pleuré, assommé par ce geste d'infâmie totale. Pour une fois, je vous expliqué la portée de ce geste, au-delà des CHARLIE, sur notre propre liberté de vie, sur notre liberté d'expression. 

 

Les mots, je leur ai donné une force, durant cinq belles années, ici et ailleurs, pour défendre, pour croire en ce respect commun des femmes et des hommes, des grands, des petits, des noirs et des blancs, des jeunes et des vieux. Tous égaux !

 

Bon, je vous laisse, car je vais faire une chose qui vous fera sourire : du repassage.

Un geste symbolique, non, même pas en vidéo sur youtube pour une parité nouvelle. Juste le repassage, je l'ai toujours fait, d'autant  (ne cherchez pas) que cela me détend. Je vois déjà en vous les yeux brillants, cherchant mon email, voire même mon adresse complète pour livrer votre tas de vêtements. Oui j'aime me détendre avec cette fastidieuse tâche pour certaines, cette tâche impossible pour d'autres. 

 

Mes enfants, oubliez le repassage, mais jamais que vous êtes toutes et tous égaux, durant toutes les étapes de votre vie (famille, boulot, détente, activités, obligations, pire ;-) amour ).

 

 

Nylonement

Femmes libres
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30 avril 2015 4 30 /04 /avril /2015 06:59
Sous les doigts

 

Sous les mots, sous les doigts.

Nous avons ri avec un ami, talentueux écrivain, en discutant librement autour de quelques fines tranches de charcuterie, deux verres de rouge d'un terroir du sud de la France. Que de souvenirs, de textes écrits, oubliés, griffonnés sur un coin de dessus de table en papier, dans des carnets de notes, dans des cahiers, sur des coins de rapports ennuyeux.

Nous évoquions nos instants uniques que la vie nous laisse avec le toucher, avec ce rapport charnel vers d'autres matières. Curieusement le premier sourire a été en reprenant le gras suant de ce jambon, si soyeux, si goûtu, ce lien vers la bouche où là, il exploserait sur les papilles. Noisette, gras, viande, oeuvre du temps, de la nourriture, de l'affinage et souvenirs incroyables des tartines avec le jambon coupé au large couteau par le grand-père sur cette patte accrochée dans la cheminée en été, dans le cellier l'hiver. Un parfum unique qui donne soudainement envie de saliver sur ce parfum de farine, de mie moelleuse, de pain un peu gris, de croûte épaisse, de charcuterie authentique. Un trait de passé, un plaisir gourmand. Nous avons trinqué car les doigts c'est aussi le verre, celui de l'amitié, celui du verre fin, des flûtes de champagne pour tout fêter, pour le bonheur de se rencontrer, de se revoir, de partir avant de revenir. Tout est sujet à avoir des amis, des relations, des personnes inconnues devenant en un soir des amis éternels, des compagnons de ripailles, tant de possibilités. Là aussi le souvenir d'une main tenant une bouteille poussiéreuse, un millésime ancien, des amis heureux, le silence derrière les verres. Des arômes dans le nez, la couleur encore dans les yeux, dans le gosier, les parfums et le bonheur intérieur.

 

Nous avons évoqué les mots, ce chemin incroyable qui nous les livre naturellement, parfois à la tonne, parfois sans style, parfois à la sueur d'une longue réflexion avec une parcimonie monastique, un simple aphorisme. Coucher des mots sur le papier, taper des mots sur le clavier. Et puis les donner aux autres ! pourquoi les garder pour soi ? En commandant une seconde assiette de saucissons, nous avions déjà admis que le partage n'est que l'unique objectif. Non pour soi, mais pour libérér les mots, car ils ne doivent pas être captifs. Seuls les lecteurs jugeront leur envie de commencer avec le titre, de lire, de lire encore, de s'arrêter, de fermer définitivement l'ouvrage ou le fichier, mais aussi de continuer, d'en parler, de vouloir partager une émotion, un ressenti intellectuel face à tel ouvrage. Nous pouvons tous écrire, avec un talent variable certes, mais nous devons donner, vendre, partager nos écrits. Nouvelles, simples articles d'un blog, roman, livres et même version avec tomes, les mots sont un lien, au-delà d'une réussite, d'un best-seller. 

 

C'est le fruit manuel d'une pensée, d'un regard, d'un sentiment, d'une contemplation, d'un témoignage, de notre imagination sur le monde. Passé, présent ou futur, tout est sujet à l'entourer de mots. 

 

Sous les doigts
Sous les doigts
Sous les doigts

Nous avons dégusté un autre verre, prenant l'option d'un verre de vieux sauternes, souvenir d'une période de passion pour ces vins faciles de Noël, trop vite bus avec le dessert, et pourtant. Là aussi des émotions, des verres, des couleurs entre ocres et or, des millésimes, des amis, des soirées uniques, des rencontres, des personnes marquées par un verre qui parlait à l'imparfait, vendangé par un père, un grand-père, il y a si longtemps. Et nous sommes revenus aux mots, à ce concours, ce prix justement pour un texte sur une dégustation de vieux vins, une situation, une cave voutée, une famille, un père, un fils, un lien. 

 

Des jolies femmes passaient ici et là entre les tables, les heures ayant passé, les personnes venaient dîner dans notre journée de liberté d'expression, d'ivresse un peu aussi. Nous avons vu un dos, des coutures, de jolies robes, des silhouettes et nos sourires communs sont partis sur nos doigts encore, dans nos esprits, sur les nostalgies. 

 

Comment évoquer tant de possibilités, sans les caricaturer ? Il savait si bien donner une réponse évidente à ce tourbillon instable. Il me disait souvent de picorer, de garder la tête haute quand dans un échange je perdais pied, dans nos emails, nos lettres, nos mots échangés. Sans insister, avec diplomatie, il voyait que le texte dévorait le blogueur, que je ne maîtrisais plus mon univers, intérieur et extérieur. Je le voyais alors dans son fauteuil, son lieu, son endroit, là où il racontait comment les doigts serrent une main d'enfant, le guident sur le chemin de la vie. Il savait si bien transmettre les tactiles pensées de ses personnages, de son vécu, de ce qu'il avait vu, de ce qu'il aurait aimé voir, de ce qu'il aurait aimé oublier. La guerre, les odeurs, sa mère, sa soeur, les bruits, les courses, la fuite. Cela le hantait, sans vraiment savoir les liens qui restaient en lui. Sa face obscure, sa liberté, ses larmes à lui, ses doutes, ses douleurs. Mais il était cet être si joyeux, ce jouisseur des mots, ce gourmet, cet homme respectable, ce bel accoucheur de titre, après le point final. Il aimait tant écrire, nous sommes repartis vers le ciel, vers notre place privilégiée, intemporelle, contemplatifs sur notre monde. Sur ce que nous voyons au-delà de la réalité des autres.

Sous les doigts
Sous les doigts

 

Cette femme, fatiguée par le temps, avec son mari, une main qui tremble pour lui, une canne pour elle et pourtant malgré les maux, un amour rayonnant, un duo à table, une gourmandise bien au-delà de l'assiette. Un verre entre eux deux, un partage, comme toujours nous avoua le serveur, comme toujours depuis plus de vingt ans de service. Ils étaient ainsi, sa main à elle sur sa main à lui en observant la salle, les décennies devant et derrière eux.

Nous aurions pu écrire, soudainement déconnectés de notre monde, mais il y avait d'autres mains, d'autres tables, d'autres plats, d'autres discussions, d'autres verres, d'autres silences coupés d'éclats de rire. Mains d'amoureux, derniers touchers avant une rupture, doigts engourdis par l'attente dans le froid avec un bouquet de fleurs, doigts chauds dans des gants, la main serrant l'autre. Mains qui se serrent pour le bonjour, mains sur l'épaule d'un ami, mains pour réconforter après un départ non souhaité, seul face à ce trou noir de la disparition de l'autre, main inerte sur une feuille de papier blanc, avouant une faute, cherchant les mots pour déclarer son amour, pour simplement parler, rencontrer, vivre et exister. Nous avons cherché sans paroles ou avec des phrases trop nombreuses sans aucun classement possible à créer l'encyclopédie des émotions, des doigts comme traits d'union de moments de vie. 

Elles étaient partout ici, en train de servir, de manger, d'attendre, d'aimer, de se faire la gueule. De lire aussi là-bas dans le coin, une femme seule, dans un tailleur jaune très années 80. Nous l'avions suivi du regard, des gants noirs en cuir souple, un livre, une lecture rapide, un repas mangé sagement. Nous voilà repartis dans la salle, mais aussi dehors, les passants les passantes, le vent, les lumières du soir, les émotions, les mains toujours.

 

Nous, des mots, du vin, du moins des verres vides, deux assiettes de fromages, un voyage autour des terroirs français, de belles régions et des balades, des extraits cités de ses récentes nouvelles. Les mains et les doigts, nous les avons vus partout, parlant pour nos personnages, pour nos textes, pour délier les situations ou pour meubler les instants sans dialogues. Il aimait en parler, conteur autant qu'écrivain, humble personnage lui-même dans le monde des livres. Curieux et esthète, il savait observer, vite ou très lentement, d'ailleurs, nous avions passé une soirée à comprendre le temps, à apprécier les mouvements, les autres soit trop vite, soit avec une lenteur gourmande. La fréquence donnait un sens différent à nos émotions, à nos mots aussi. Un tempo pour une mélodie écrite.

 

La porte s'est ouverte, une silhouette connue, plus qu'une connaissance commune, son jumeau, mon ami. Un trio infernal avec toujours des mots. Le dernier venu, a trouvé plus sage de fêter nos retrouvailles, malgré nos agendas impossibles, lui-même ayant quitté une soirée sombre et snob, sur un mal au ventre imaginaire pour nous retrouver.

"Champagne !"

Trois flûtes, plusieurs desserts.

 

"Vous parliez de quoi ?"

"De doigts, de mains, de sensations ..."

 

Toujours plus prompt à manger avec ses mains, à sucer ses doigts, à prendre la nourriture pour se gaver dans l'opulence d'un gargantua, il a ri, rempli sa bouche de profiterolles et de chocolat liquide. Il était notre troisième élément, le trublion satisfait uniquement par l'excès, du moins extérieurement, mais plus par un appétit sans limites pour découvrir, du naturel jusqu'au plus subtil. Un épicurien de tous les bontés de la vie, pouvant croquer des pêches dans l'arbre, se rouler dans l'herbe avec sa compagne, le jus du fruit dans sa bouche, l'embrassant sans fin, et le même soir, déguster un repas plus guindé, avec le souvenir de l'après-midi, en coupant avec fourchette et couteau, en pelant sa pêche de vigne pour la savourer sur une glace à la vanille bourbon, avec quelques cannelés. Sobrement ou excessivement, il était ainsi. Alors notre sujet l'emporta avec son univers de mots, bien à lui, encore plus libres, presque libertins, souvent érotiques, vers des vallées plus folles, plus magiques, avec tout autant de délices. Ses yeux brillaient, les nôtres aussi.

 

Sous nos doigts, des mots.

Mais aussi entre nos lèvres, depuis des heures.

Des doigts, des lèvres, la nuit serait sans fin.

Les mots aussi.

 

 

Nylonement

 

Sous les doigts
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29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 07:44

Je n'avais pas de but au premier jour de ce blog, juste des envies.

 

Celle de prendre des voyelles, des consonnes, des lettres, d'ouvrir et de donner les clefs d'un espace de liberté d'expression avec ce blog. Un lieu interactif, où les commentaires peuvent répondre, enrichir le débat ou la folie du texte du jour.

 

Celle de défendre un peu plus de libertés. Enfin je suis seul, parfois un peu Don Quichotte dans un désert d'idéalisme, mais en apportant quelques caillous à l'édifice, je pensais donner quelques voies ou des chemins vides ou escarpés pour atteindre, non le graal, mais un bonheur plus réel. En décrivant des ressentis, des impressions, des émotions, les miennes, les vôtres, j'ai romancé des parcours de vie, toujours avec une note d'espoir. Car si j'aime la nostlagie du passé parfois, je crois au présent, aux instants magique s avec mon amour en particulier, avec les proches, avec les ami(e)s, avec la famille, avec les autres en général, . Soyez rassuré, je suis aussi parfois déçu de certains d'eux. Alors je rajoute une autre étape, l'avenir, ce moment encore inconnu où tout peut se faire. Oui les Happy End sont tous devant nous, malgré les situations actuelles parfois troubles. Il faut croire en un futur meilleur !

 

Celle de croire uniquement en l'équité entre les Femmes et les Hommes (oui regardez les définitions et la finesse de nuances entre équité et égalité, faites votre choix !). Une vérité que je me dois de transmettre à mes enfants, aux autres générations pour voir des sourires entre toutes et tous. Quel bonheur de voir leurs visages heureux !

 

Celle de vivre encore longtemps avec des mots car ils ont été bien plus que des textes. Des échanges, des emails, des silences, des complicités et des rencontres.

 

Et pour d'autres belles raisons ...

 

Nylonement

 

Sensibilité
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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

COPYRIGHTS

Les photos sont ici uniquement à titre non marchand comme l'ensemble de ce blog non-commercial, pour un référencement, en l'honneur des marques citées, pour un usage d'hommage à la Féminité. Si toutefois, j'oublie une référence (encore faudrait-il qu'elle apparaisse en récupérant cette image sur le net, sur Pinterest et ailleurs) ou je suscite un souci de droit à l'image ou aux copyrights, contactez-moi par email gentlemanw@nylon-volupte.com.

L'image sera retirée dès que vous nous préciserez laquelle. Merci.

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

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et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

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